Ne vous attendez pas à une simple suite : 28 Years Later propose une nouvelle histoire, dans le même univers infecté que ses prédécesseurs. Trente ans après l’épidémie du virus rage, l’humanité tente toujours de survivre tant bien que mal. Certains se sont adaptés, vivant en quarantaine sur une île isolée reliée au continent par une seule chaussée. Mais quand l’un d’eux décide de partir explorer le monde extérieur, il découvre un Royaume-Uni métamorphosé… où les infectés ne sont peut-être plus les pires monstres.

Un casting cinq étoiles

La distribution est particulièrement alléchante :

• Jodie Comer (Killing Eve) incarne Isla, une femme enceinte au cœur de la communauté insulaire.

• Aaron Taylor-Johnson joue son compagnon, Jamie, éclaireur aguerri.

• Ralph Fiennes interprète un médecin ambigu, le Dr Kelson.

• Jack O’Connell est Sir Jimmy Crystal, leader au passé trouble.

• Et Alfie Williams, révélation jeune du casting, campe leur fils, Spike.

Le tout est mis en scène par Danny Boyle, sur un scénario signé Alex Garland, fidèle complice depuis le premier film.

💡 À noter : Cillian Murphy, héros de 28 days later, est producteur exécutif du film. De quoi alimenter les rumeurs d’un caméo surprise…

Danny Boyle expérimente encore : certaines scènes ont été tournées à l’iPhone 15 Pro Max, offrant un rendu brut et viscéral. L’ambiance sonore est renforcée par la lecture dramatique du poème Boots de Rudyard Kipling, qui accompagne la bande-annonce. Une touche poétique qui accentue le malaise latent.

Une trilogie déjà en route

Bonne nouvelle pour les fans : 28 Years Later n’est que le début d’une nouvelle trilogie. Le deuxième volet, 28 Years Later: The Bone Temple, réalisé par Nia DaCosta, est déjà en préparation pour une sortie en janvier 2026. L’univers du virus rage est donc loin d’avoir livré tous ses secrets.

Prévu pour une sortie en salles le 20 juin 2025, 28 Years Later s’annonce comme l’un des événements ciné majeurs de l’année. Entre horreur viscérale, réflexion sur la survie humaine et tension permanente, le film semble bien décidé à redéfinir une nouvelle fois le genre zombie pour une génération post-pandémie.