Mac mini M4 : ColorWare dévoile une édition rétro qui fait rêver les fans d’Apple
Un design qui respire les années 1980
ColorWare a vraiment mis le paquet sur l’esthétique. Le boîtier du Mac mini M4 arbore désormais le logo Apple multicolore, celui qui a marqué les esprits entre 1977 et 1998. Les ventilations en aluminium rappellent celles des anciens Macintosh, et à l’arrière, le mot "Retro" est gravé dans une police vintage. Bref, c’est un vrai voyage dans le temps, mais avec une touche de modernité.
Deux coloris sont disponibles :
-
Le beige rétro, qui ressemble à s’y méprendre aux premiers Macintosh.
-
Le noir mat, plus sobre et moderne, mais qui conserve l’esprit vintage grâce au logo multicolore.
@ColorWare
Sous le capot, rien ne change
Si le design a été chamboulé, les performances, elles, restent identiques à celles du Mac mini M4 standard. Au programme :
- Les puces Apple M4 et M4 Pro.
- Des configurations allant de 16 à 24 Go de RAM.
- Un stockage SSD de 256 à 512 Go.
Côté connectivité, rien ne change non plus : trois ports Thunderbolt 4, un HDMI, un Ethernet Gigabit, deux USB-C et une prise casque 3,5 mm à l’avant. Bref, c’est le même Mac mini, mais en plus stylé.
Un prix qui pique un peu
Cette édition rétro a un coût : 899 dollars pour le modèle de base, soit 300 dollars de plus que la version classique. Ce surcoût s’explique par le travail artisanal sur l’aluminium et le caractère limité de l’édition. Pour les acheteurs hors des États-Unis, il faudra aussi prévoir des frais d’importation et de livraison (environ 60 dollars). Autre détail à noter : les garanties sont gérées uniquement par ColorWare aux États-Unis, ce qui peut être un peu contraignant.
ColorWare n’a pas communiqué le nombre d’exemplaires disponibles, ce qui renforce le côté exclusif de cette édition. Avec son design rétro et ses références aux premiers Macintosh, ce Mac mini M4 s’adresse clairement aux collectionneurs et aux fans d’Apple. Le beige ravira les puristes, tandis que le noir mat séduira ceux qui veulent un look plus contemporain.
Alors qui va craquer ?