Au fil des heures passées dans l'ombre de l'occupation allemande, trois compagnons d'armes s'engageaient à nouveau dans les rangs de la Résistance française. Pierre, un pilote intrépide et confiant en lui-même, avait toujours affronté les défis avec une audace sans faille. Son nom devenait synonyme de bravoure au sein des Forces Françaises Libres.Au lendemain du jour où Jean s'était envolé pour la Normandie, son état était resté incertain. Personne n'avait revu le pilote qui avait disparu dans les combats acharnés du débarquement en Normandie. Les heures et les jours se succédaient sans apporter de nouvelles sur le sort de Jean.Le 8 mai, ce jour marquant la fin des hostilités, Pierre était envolé pour une mission d'importance, mais il ne reviendrait pas. L'écho de ses exploits n'allait pas disparaître avec lui, car il avait réussi à sauver de nombreuses vies avant son dernier vol.Laissant derrière eux un vide immense, les camarades de Pierre et Jean continuaient leur résistance silencieuse. Leur espoir était toujours présent dans le cœur des Français qui s'étaient soulevés contre l'occupation allemande.La fin du conflit laissait une veuve éplorée, mais elle continuait à vivre avec le souvenir de son époux et les exploits héroïques qu'il avait accomplies