Le procès de Farroukh Erdogan, l'homme accusé d'être le cerveau d'un acte terroriste qui a coûté la vie à 120 personnes dans un marché animé de Londres, est sur le point de se dérouler. Une double complication émerge : deux anciens amants du côté de la défense ont décidé de s'associer pour le représenter en justice. Cette union présente des risques et met les avocats à l'épreuve, tandis que le gouvernement souhaite utiliser des documents classés secrets pour poursuivre le prévenu.L'intervention d'une Avocate Spéciale est alors nécessaire. Claudia Simmons-Howe a été désignée par le Procureur Général pour voir ces documents et invoquer leur divulgation lors d'audiences à huis clos. Cette démarche soulève des questions quant à l'équilibre entre la nécessité de justice et les précautions nécessaires pour protéger les secrets d'État.Dans ce contexte, le procès de Farroukh Erdogan deviendra un examen complexe des limites de l'accès aux informations sensibles et du rôle des avocats dans le système judiciaire. L'affaire risque de se transformer en une bataille juridique serrée qui évaluera les compromis entre la nécessité de justice et la protection des secrets d'État